Les CEMEA Occitanie ont accueilli une formation nationale de formateurs.trices sur l'éducation aux médias les 3, 4 et 5 février. Le but ? S'outiller sur l'information et la désinformation.
15 personnes venues de toute la France sont venues échanger et débattre sur comment mener des temps de formation sur ce sujet.
- C'est quoi l'information ? À quoi ça sert ? Nous avons eu l'occasion de faire une revue de presse qui nous as permis de clarifier les genres d'articles dans les journaux.
- Nous avons eu ensuite l'occasion grâce à Sandra, volontaire en service civique aux CEMEA Occitanie, de préparer et d'animer une animation de radio sur ce que les CEMÉA mettent en place sur la question d'éducation critique aux médias et à l'information dans les différentes régions représentées.
- Un partenaire nous as rejoint pour nous présenter le CLEMI (Centre de liaison de l'enseignement et des médias d'information), les actions développés dans la région et comment nous pouvions travailler ensemble.
- Nous avons poursuivi par un temps autour de la liberté d'expression qui nous a amené à travailler sur les fakenews, la rumeur et la théorie du complot.
- Nous avons fini par un temps autour des dessins de presse et de la présentation de notre base de données Yakamedia.
Bien sur tout, ça n'a pas pu se faire sans des moments conviviaux et des temps de détente, en soirée notamment, avec une visite street art de la ville de Montpellier organisée de main de maître par Sandra, suivi d'un moment fort en émotion et en débat constructif sur comment les formateurs CEMÉA peuvent se couper les cheveux en 4 pour décortiquer, analyser et critiquer de manière constructive les méthodes de travail utilisées pour se remettre en question, car comme disait Gisèle de Failly: l'éducation est de tous les instants.